天使的一份
地区:日本
  类型:动画
  时间:2025-06-17 05:22:20
剧情简介

根据中国股市传奇人物王晓先生的自传小说改编,天使25年来唯一中国股市题材商战巨作,天使带您闪回1990-1995年大陆股市光辉岁月。由一代股神王晓先生亲自操刀担任影片创作顾问,佰利通邦影业与邵氏影视倾力联合打造,吴毅将、李子雄、麦家琪、郑浩南、吴廷烨、程东、李健仁(如花)、彭敬慈等众多香港影视大腕出演。中国首部股市商战题材新媒体影视大片,为您演绎一段中国股市爱恨情仇,风起云涌的传奇励志故事。故事讲述了一代股神的崛起。主人公傲风从一个不知股市为何物的小人物成长为一个优秀的操盘手,他见证了中国证券市场发展的跌宕起伏,还有在股市的沉浮中留下印记的风云人物。它面对的不是数字的疯狂跌涨,而是隐藏在数字背后没有硝烟的战火,人性的战争。这里有嚣张与回顾的艺术情怀,感性与理性的数字疯狂!

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明星主演
普普乐团
黄泆潼
卢春如
最新评论(782+)

娜塔莎托马斯

发表于7分钟前

回复 :女医生凯特(桑德拉•布洛克 饰)因为工作繁忙,搬离了郊外的河边小屋。临走时她在信箱里放了一封信,希望下一位住客能帮忙处理信件。不久,她来到了旧址,发现信箱里面有一封来自建筑师亚历克斯(基努•里维斯 饰)的来信,信一封接着一封。原来他们所处的年代相差了两年,他们惊讶之余更乐于成为对方的笔友,他们在不同的空间里,一次又一次感受对方的存在。随着爱情的滋生,亚历克斯决定要见凯特一面,但他们都不知道这场跨越时空的恋爱,将会使他们经历何样的景况。


廖昌永

发表于9分钟前

回复 :有些奇怪的事情一直存在,你以为是巧合,或编个理由让它合理,其实,是因为你们不想承认……季末(春夏饰)从小就因为能看见“怪物”而被视作异类,直到有一天她在工作的超市再次看到“ 怪物” 并神奇的邂逅了“怪物猎人”——猛哥(余文乐饰),她才发现原来世界上真的有“怪物”存在,两个年轻人由此卷入了一场新的风波。


凡妮莎

发表于7分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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